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Accueil Admission à l’une des professions Les examens ECAP Exemples de questions d’examens ECAP
Les exemples des questions d’examens visent à mener à la compréhension du but et de l’intention d’une question dans le cadre d’un examen à choix multiples axé sur les compétences. Plus précisément, ces questions serviront à guider le candidat à l’examen vers la bonne réponse, de lui montrer à quoi ressemblent les questions d’un examen et de l’aider à comprendre la justification de la bonne réponse.
Paul est un enfant de 28 mois avec un retard du développement. Ses parents rapportent qu’il possède un vocabulaire de quelques mots, mais qu’il les utilise peu fréquemment, et qu’il ne semble pas intéressé par la conversation, ni le jeu interactif. Ils disent aussi qu’il comprend le langage simple accompagné de gestes.
1.2.f iii
Paul, R., Norbury, C., & Gosse, C. (2018). Language Disorders from Infancy Through Adolescence: Listening, Reading, Writing and Communication. 5th Ed Elsevier. p.242
1.2.f iii
Paul, R., Norburn, C., & Gosse, C. (2018). Language Disorders from Infancy Through Adolescence: Listening, Reading, Writing and Communication. 5th Ed Elsevier. p.246-47
1.2.f iv
Paul, R., Norburn, C., & Gosse, C. (2018). Language Disorders from Infancy Through Adolescence: Listening, Reading, Writing and Communication. 5th Ed Elsevier. p.246
1.2.i ii
Paul, R., Norburn, C., & Gosse, C. (2018). Language Disorders from Infancy Through Adolescence: Listening, Reading, Writing and Communication. 5th Ed Elsevier. p. 264-65
1.1.a iii
Paul, R., Norburn, C., & Gosse, C. (2018). Language Disorders from Infancy Through Adolescence: Listening, Reading, Writing and Communication. 5th Ed Elsevier. p.419
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Papathanasiou I., and Coppens, P. (2017). Aphasia and Related Neurogenic Communication Disorders. 2nd Ed Jones and Bartlett Learning. p. 46
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Brookshire, RH. (2015). Introduction to Neurogenic Communication Disorders. 8th Ed Elsevier. p. 246
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3.a
Luterman, D. (2008) Counselling Persons With Communication Disorders and Their Families. 5th Ed. Pro-Ed. Page 53
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Yorkston, K. M., Beukelman, D. R., Strand, E. A. , and Hakel. M. (2010). Management of Motor Speech Disorders in Children and Adults. 3rd Ed Pro-Ed. pg. 300-302.
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Amster, B. J., & Klein, E. R. (Eds.). (2018). More than fluency: the social, emotional, and cognitive dimensions of stuttering. Plural Publishing, Inc. p.85
1.1.a
Groher, M. E. and M. A. Cary (2020). Dysphagia: Clinical Management in Adults and Children. 3rd Ed Elsevier. pg. 227
1.2.k i
Rvachew, S. (2018). Developmental phonological disorders: Foundations of clinical practice (F. Brosseau-Lapré (Ed.)(2nd ed.). Plural Publishing, Inc. p. 432.
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1.2.i i
Yorkton & Beukelman, 2010, p.276
1.2.i i
Paul, R., Norbury, C., & Gosse, C. (2018). Language Disorders from Infancy Through Adolescence: Listening, Reading, Writing and Communication. 5th Ed Elsevier. p.518
1.2.i i
Brookshire, RH. (2015). Introduction to Neurogenic Communication Disorders. 8th Ed Elsevier. p.218
2.a iii
Lubinski, R., Golper, L., Frattali, C. (2007). Professional Issues in Speech-Language Pathology and Audiology. 3rd Ed. Thomson Delmar Learning. Page 45
1.1.c i
Katz, J. (2015). Handbook of Clinical Audiology. 7th Ed. Wolters Kluwer. Page 459
Suggérer aux parents de se concentrer sur les activités de la fête.
Demander aux parents leur point de vue sur les progrès de Roxanne.
Offrir de revoir le plan de traitement et les progrès lors de la prochaine séance.
Prendre les parents à part dans une salle tranquille loin des enfants et leur donner un sommaire des progrès.
7a iii
Paul, R., Schoen Simmons, E. (2021). Clinical Methods in Communication Disorders. 4th Ed. Paul H Brookes Publishing Co. Page 188.
7b iii
Lubinski, R., Golper, L., Frattali, C. (2007) Professional Issues in Speech-Language Pathology and Audiology. 3rd Ed. Thomson Delmar Learning. Page 89 and 439.
4.b. ii
Lubinski, R., Golper, L. A. C., Frattali, C. M. (2007). Professional Issues in Speech-Language Pathology and Audiology 3rd Ed. Thomson Delmar-Learning. p. 439, 538
7.b.iii
Paul, R. and Schoen Simmons, E. (2021). Introduction to Clinical Methods in Communication Disorders. (4th Ed). Paul H Brooks Publishing Co. Pages 33, 56.
6.a. v
Paul, R. and Simmons, ES. (2021). Introduction to Clinical Methods in Communication Disorders 4th Ed. p. 66
Papathanasiou, I. and Coppens, P. (2017) Aphasia and Related Neurogenic Communication Disorders. 2nd Ed. Bartlett Learning, p. 319.
1.2.f v
Freed, D. B. (2020) Motor Speech Disorders: Diagnosis and Treatment. 3rd Ed. Plural Publishing, Inc. p.102
3.a iii
Leonard & Kendall, 2019, p. 245
Âgée de 85 ans, Mme Boileau présente une perte auditive neurosensorielle bilatérale modérément sévère avec de bons scores de reconnaissance (84 %) des mots bilatéralement. Mme Boileau est cognitivement alerte et possède une bonne vision, mais sa dextérité manuelle est limitée à cause de l’arthrite. Elle a récemment été équipée d’appareils auditifs contour d’oreille de haute technologie qu’elle utilise régulièrement. Elle a aussi reçu un accessoire sans fil.
Mme Boileau a récemment emménagé dans un grand établissement de soins intermédiaires. L’établissement est équipé d’un téléviseur et d’un réseau téléphonique compatible avec la technologie sans fil.
1.2.f.iii
Gelfand, S.A., & Calandruccio, L. (2022). Essentials of Audiology 5th Ed. Thieme Publishers. p. 246.
1.2.j.iv
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Hood, L. J., & Tillery, K. L. (Eds.), Handbook of clinical audiology (pp. 595-596) (Vol. 7). Philadelphia, PA: Wolters Kluwer Health.
1.2.g.ii
Kramer, S. & Brown, D.K. (2023). Audiology. Science to Practice 4th Ed. San Diego: Plural Publishing. p. 239
est correcte – l’otosclérose causerait un tympanogramme normal puisque le marteau et l’enclume ont une mobilité normale, mais l’étrier est figé, ce qui empêche la mesure des réflexes acoustiques.
est incorrecte puisque la dislocation de la chaîne tympano-ossiculaire causerait une amplitude maximale élevée.
est incorrecte parce qu’une otite moyenne avec effusion occasionnerait un tympanogramme plat.
est incorrecte puisqu’une perforation de la membrane tympanique causerait un tympanogramme plat avec un volume du canal auditif plus élevé que la normale.
1.2.g.ii
Katz, J., Chasin, M., English, K. M., Hood, L. J., & Tillery, K. L. (Eds.). (2015). Handbook of clinical audiology (Vol. 7). (p. 498) Philadelphia, PA: Wolters Kluwer Health.
1.1.b.i
Owen, A. (2023). Statistics for Clinicians. Springer. p. 7.
est la bonne réponse puisque le dépistage précoce donne lieu à un diagnostic précoce, conformément à la majorité des protocoles de dépistage précoce des troubles auditifs.
est incorrecte parce que trois mois est l’âge ciblé pour une évaluation diagnostique selon la majorité des protocoles de dépistage précoce des troubles auditifs.
C. et D. sont incorrectes puisque le dépistage à cet âge causerait un retard du diagnostic et de l’intervention, selon la majorité des protocoles de dépistage précoce des troubles auditifs.
1.2.e.ii
White, K. A. (2015). Newborn hearing screening. In Katz, J., Chasin, M., English, K. M., Hood, L. J., and Tillery, K. L. (Eds.), Handbook of clinical audiology (p. 441) (Vol. 7). Philadelphia, PA: Wolters Kluwer Health.
1.2.g.ii
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1.1.b.i
Tharpe, A.M., & Seewald, R. (Eds.). (2016). Comprehensive Handbook of Pediatric Audiology. Plural Publishing. p. 919
1.2.f.iii
Katz, J., Chasin, M., English, K. M., Hood, L. J., & Tillery, K. L. (Eds.). (2015). Handbook of Clinical Audiology (Vol. 7). (p. 586) Philadelphia, PA: Wolters Kluwer Health.
C. et D. sont incorrectes parce qu’elles n’indiquent pas les propriétés d’un filtre passe-bas avec une fréquence de coupure de 2 000 Hz.
est correcte parce qu’un filtre passe-bas de 2 000 Hz laisse passer toutes les fréquences en dessous de la fréquence de coupure et rejette les fréquences plus hautes que la fréquence de coupure.
1.1.b.i
Burkhard, R., & Don, M. (2015). Introduction to Auditory Potentials.
In Katz, J., Chasin, M., English, K. M., Hood, L. J., & Tillery, K. L. (Eds.), Handbook of Clinical Audiology (p. 195) (Vol. 7). Philadelphia, PA: Wolters Kluwer Health.
A. et C. sont incorrectes parce qu’un tube-sonde pincé ou bouché causera une réduction dans la mesure de gain à toutes les fréquences.
B. est correcte parce qu’un tube-sonde qui n’est pas insérée assez profondément permettra aux hautes fréquences de se dissiper avant de rejoindre le tube-sonde.
C. est incorrecte parce qu’une fuite donnerait lieu à une dissipation des basses fréquences.
Mueller, H.G., Ricketts, T.A., & Bentler, R. (2017). Speech Mapping and Probe Microphone Measurements. Plural Publishing. p. 248
1.2.f.iii
McCaslin, D. L., & Jacobson, G., P. (2020). Vestibular-evoked Myogenic Potentials (VEMPs).
Jacobson, G. P., Shepard, N. T., Barin, K., Janky, K., & McCaslin, D. L. (Eds.), (2020) Balance Function Assessment and Management 3rd Ed. (p. 433). Plural Publishing.
A. et B. sont incorrectes puisque cette fréquence n’est pas suffisante pour dénoter les changements acoustiques qui se produisent dans les oreilles des jeunes enfants pendant la croissance.
C. est correcte puisque l’anatomie de l’oreille externe et moyenne change fréquemment chez les jeunes enfants et nécessite un changement de l’embout auriculaire pour bien remplir l’oreille. Refaire le test RECD quand un nouvel embout est produit permet de s’assurer qu’on tient compte de ces changements par rapport à la sortie de la prothèse auditive.
D. est incorrecte parce que le test RECD tient compte des propriétés acoustiques du conduit auditif même et n’est pas significativement influencé par les effets du tube du moule.
1.2.k.i
Madell, J., & Flexer, C. (2014). Pediatric Audiology: Diagnosis, Technology, and Management (2nd ed., p. 215). Thieme Medical Publishers, New York.
1.2.k.ii
Taylor, B., & Mueller, H. G. (2021). All About Style: Hearing Aids and Earmolds. (p.251). Fitting and dispensing hearing aids, 3rd Ed. Plural Publishing, Inc.
1.1.b.i
Gelfand, S. A. & Calandruccio, L. (2023). Auditory system and related disorders. (p.167). Essentials of Audiology, 5th Ed. Thieme.
A. est incorrecte parce que la perte auditive liée au syndrome d’Apert est typiquement due à une perte conductive acquise (soit une effusion de l’oreille moyenne).
B. et C. sont incorrectes parce que le syndrome de l’X fragile et la maladie de Marfan ne sont pas généralement associés à une perte auditive congénitale.
D. est correcte parce que l’incidence de perte auditive congénitale liée au syndrome de Waardenburg est d’environ 70%.
1.1.a.i
Northern, J.L., & Downs, M.P. (2002). Hearing in Children. Lippincott Williams & Wilkins
A. et B. sont incorrectes parce qu’elles ne font pas partie de la membrane tympanique et seraient seulement impliquées dans les stades avancés de ce trouble.
C. est correcte parce qu’il s’agit de la partie de la membrane tympanique qui contient une plus grande proportion d’élastine, et elle est la partie la plus fréquemment rétractée de la membrane tympanique.
D. est incorrecte parce qu’il s’agit de la partie opposée à la pars flaccida, et elle est moins susceptible à une rétraction
1.1.b.i
Gelfand, S. A. & Calandruccio, L. (2023). Auditory system and related disorders. (p.157). Essentials of Audiology, 5th Ed. Thieme.
1.2.g.i
Gelfand, S. A. & Calandruccio, L. (2023). Auditory system and related disorders. (p.152). Essentials of Audiology, 5th Ed. Thieme.
A. et B. sont incorrectes parce que la cliente présente une pathologie potentiellement traitable.
C. est correcte parce que la prochaine étape logique après avoir identifié une pathologie de l’oreille moyenne est de consulter un médecin.
D. est incorrecte parce qu’il ne s’agit pas d’un suivi adéquat en termes de temps.
1.2.j.vi
Katz, J., Chasin, M., English, K.M., Hood, L.J., & Tillery, K.L. (7th Ed) (2015). Handbook of Clinical Audiology. Philadelphia, PA: Wolters Kluwer Health.
1.2.j.ii
Ricketts, T. (2019). Essentials of modern hearing aids : selection, fitting, and verification (R. A. Bentler & H. G. Mueller (Eds.)). Plural Publishing. pg 575
1.2.j.ii
Orthophonie et Audiologie Canada (2016) Code de déontologie professionnel
7.a.ii
Orthophonie et Audiologie Canada (2016). Code de déontologie professionnel, p. 3-5
4.b.ii
Katz, J., Chasin, M., English, K. M., Hood, L. J., & Tillery, K. L. (Eds.). (2015). Handbook of Clinical Audiology (Vol. 7). (p. 508) Philadelphia, PA: Wolters Kluwer Health.
1.2.j.vi
Musiek, F. E., Shinn, J. B., Baran, J. A., & Jones, R. O. (2020). Disorders of the auditory system. (pp. 127-139) Plural Publishing.
A. B. et C. sont incorrectes parce qu’elles font partie de la procédure de prise d’impression et ne peuvent pas avoir lieu si le consentement n’a pas été obtenu.
D. est correcte parce que le consentement éclairé est un prérequis à l’exécution de toute procédure.
Compétence : 2.b.ii
Références
Orthophonie et Audiologie Canada (2016). Code de déontologie professionnel, p.4
A. B. et D. sont toutes incorrectes parce qu’elles impliquent que l’audiologiste accepte le cadeau, ce qui va à l’encontre du code de déontologie professionnel.
C. est correcte parce que conformément aux codes de déontologie professionnels, un clinicien ne doit pas accepter de récompense financière ou de cadeau qui pourrait compromettre ou influencer son jugement professionnel ou ses recommandations de services.
7.b.iii
Orthophonie et Audiologie Canada (2016). Code de déontologie professionnel, p.6
2.a.iii
Orthophonie et Audiologie Canada (2016). Code de déontologie professionnel
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